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Archives de Catégorie: Vie de famille

Notre programme politique sexuel…

Je vous ai parlé hier de la politique du sexe. Alors voilà ce que mon chum et moi proposons :

  • Crédit d’impôt pour gardiennage de soirée et frais de sortie ou de chambre d’hôtel pour couples avec enfants
  • Crédit d’impôt sur les cours susceptibles de pimenter la vie de couple et la santé en général : cours de massage, pole dancing, cours de baladi, (ce genre de crédit pour les cours d’activité physique existe déjà pour les enfants)
  • Crédit d’impôt pour les cours de cuisine (parce qu’un homme qui cuisine, c’est sexy!!!)
  • Bourse du sexe : présentez un projet  original pour agrémenter votre vie sexuelle et obtenez une bourse pour réaliser le tout. Les projets sont publiés sur un site Web grand public pour inspirer les autres couples…
  • Frais d’achat pour les accessoires sexuels remboursés à 80% par les assurances jusqu’à concurrence de 300$.
  • Instauration de la journée nationale du sexe. Ce jour-là, toutes les personnes en couple peuvent sortir plus tôt du boulot et les autres ont droit à des ateliers de formation optionnelle sur « comment trouver la bonne personne ? » ou « Comment être plus séduisant ? »

Le débat est lancé… 😉  Quelles sont vos idées ? N’hésitez pas à confronter les nôtres… 😉

 
 

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Quand les enfants se mêlent du couple…

Ma fille aînée, âgée de 8 ans, m’a surprise cette semaine… Mon chum est venu souper ici mercredi. Elle le connaît depuis un moment déjà, même avant que notre relation ne soit officielle… Alors que mon mec faisait le souper (je sais, je suis gâtée!) et que je me baignais avec mes deux plus jeunes dans la piscine et le spa, ma grande en a profité pour avoir une discussion « beau-père » potentiel / fille.

Elle a posé à mon amoureux des questions directes, franches, dont je ne ferai pas ici mention. Mais le fait est qu’elle s’est assuré de façon claire qu’il était là pour rester…

Elle a conclut la conversation en affirmant ceci à mon chum  :

« Bon, ma mère a des défauts et des qualités. Tu as des défauts et des qualités. Mais ensemble, vous êtes parfaits l’un pour l’autre… »

Sincèrement, j’ai trouvé ça trop mignon… Et ce n’est pas moi qui lui ai glissé ses mots à la bouche, je n’ai jamais dit cela. Enfin, suite à cette discussion, alors qu’on se mettait à table, elle a insisté pour s’asseoir près de mon chum… Ça me touche. Et sa présence auprès de mes filles m’émeut également. Ils s’entendent bien et mon chum s’implique, sans trop en faire. Ce petit souper en famille, avec lui, était comme un baume sur mon coeur de mère… Ça fait tellement de bien… Je dis merci pour ça.

 
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Publié par le 24 septembre 2011 dans amour, Bonheur, Vie de couple, Vie de famille

 

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Êtes-vous une mère en talons aiguilles ? (ou en d’autres mots, une mère sexy?)

C'est vrai qu'on se sent sexy avec des talons hauts, non ?

Je discutais hier midi avec ma copine Caroline qui m’a parlé du livre « Une mère en talons aiguilles », de Tina Karr. Le concept tourne, selon ce qu’elle m’a dit, autour de ceci : une fois mères de famille, les femmes ont tendance à oublier leur sexualité. La fatigue, le stress, les enfants, les responsabilités… Tout devient prétexte à ne plus avoir de vie sexuelle. Et ce lot d’excuses constitue un cercle vicieux : moins on a de sexe, moins on en a envie et moins on se sent sexy… et ainsi de suite…

Sincèrement, je constate que ce fameux cercle vicieux est le lot de bien des femmes. Moi, la première, je l’ai vécu avec mon ancien mari. Puis un jour, bang ! J’ai réalisé que j’avais envie d’avoir une vie sexuelle, mais il était trop tard pour raviver la flamme. Quand on perd l’habitude de l’intimité avec notre partenaire, c’est difficile de se remettre sur les rails, surtout si en parallèle, d’autres problèmes existent.

Pourquoi la grande majorité des mères tombent-elles dans ce panneau ? Je ne sais pas. Sincèrement, si vous avez une réponse, partagez-là! Parce que clairement, rationnellement, je crois que l’on comprend toutes à quel point ce comportement est nuisible pour le couple, mais on se dit que notre chum peut attendre, qu’il n’a pas besoin de sexualité, qu’il peut se faire un « nœud dedans ». Et le monsieur, face à notre apparent désintérêt pour la chose, cesse de nous faire des avances. Et quand on constate qu’il ne se passe plus rien, il est trop tard… Et on forme un nouveau couple avec un autre qui lui, a la chance de fréquenter non pas la mère, mais la femme que nous sommes…

Vous l’avez vécu ? Vous le vivez ? Vous avez la solution miracle ?

 

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Quand nos enfants « googlent »… et quand on parle de sexualité…

C’est Le Roux qui m’a proposé cette idée de billets, suite à mon billet sur le fait qu’un mec que je commençais à fréquenter m’avait googlée (et avait donc découvert un tas de choses sur moi)…

Le Roux m’a fait réaliser qu’un jour, ce serait mes propres enfants qui allaient me googler. En fait, ma fille aînée (8 ans) pourrait déjà le faire si elle le voulait.

Suis-je à l’aise avec ce qu’elle découvrirait ? Évidemment, elle constaterait que je parle de séduction et de sexualité sur le Web… 

Et oui, je suis à l’aise avec cela. Je l’assume. En fait, j’essaie d’être ouverte avec ma fille pour discuter de sexualité au sens large (amour, désir, vie de couple)… La séparation vécue avec le père de mes filles et le nouveau chum que j’avais à l’époque avaient suscité certaines discussions. Évidemment, je n’entre pas dans les détails, mais je veux que ma fille sente qu’elle pourra éventuellement me parler de tout, si elle en ressent le besoin, et que je ne la jugerai pas à cet égard.

Je n’ai jamais parlé de sexualité avec ma mère. C’est correct. Mais j’ose espérer que mes filles sauront qu’elles peuvent, sans obligation, le faire. Ça fait partie de la vie, non ?

Et vous, avez-vous des échanges avec vos enfants / adolescents à ce niveau ? Des astuces à partager pour les parents néophytes ou pour qui les fameuses discussions sur la protection ou autre s’en viennent ?

 
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Publié par le 24 août 2011 dans Sexualité, Vie de famille

 

Vie sexuelle et enfants : kit de survie !

Vite, cache-toi sous les couvertures, il pousse la porte !

Quand on a des enfants, la vie sexuelle en prend souvent un coup… Mais avec un bon « kit de départ », on peut s’assurer de limiter les dégâts et de ne pas attendre 18 ans pour reprendre du service ou, comme dans mon cas, attendre de se taper toutes les étapes suivantes pour ravoir une vie sexuelle digne de ce nom :

1) se séparer du père des enfants

2) se refaire un chum (impliquant évidemment les sous-étapes 2a) chercher la perle rare 2b) la trouver 2c) lui mettre le grappin dessus… 😉  

3) faire l’amour comme des bêtes une semaine sur deux seulement… 😉

Mais qu’en est-il des moments où les enfants sont à la maison ? Comme je le disais, avec un bon « kit », on peut espérer faire des galipettes de temps à autres. Il faut donc (mis à part dire une semi-vérité en annonçant aux enfants que vous et votre amoureux allez faire une petite « sieste ») :

1) Une poignée de porte qui barre (à mettre sur ma liste pour ma séance de magasinage automnale)

2) Une séries de bons films sur DVD qui occupent les enfants un bon 90 minutes (et deux sachets de pop corn en prime, + autant de bols qu’il y a d’enfants pour éviter les conflits qui pourraient faire en sorte que les enfants viennent vous déranger pour régler les dits conflits)

3) Une série de menaces qui n’ont pas à être originales, mais plutôt percutantes, pour les enfants qui oseront venir cogner à votre porte et perturber votre « sommeil » (le premier qui vient cogner à la porte, je le couche illico; le premier qui vient cogner, il fait la vaisselle toute la semaine) – vous pouvez aussi opter pour les récompenses (si vous ne venez pas nous déranger, vous obtiendrez 3 bonbons)…

4) Une bonne musique de fond dans votre chambre, si vous êtes de type « sonore » lors des moments de plaisir…

Alors, finalement, aucune raison de ne pas avoir de vie sexuelle avec des enfants. Un investissement de 3,99$ en location de film, 2,00$ pour deux sacs de pop corn et le tour est joué !

D’autres astuces pour éloigner les enfants quand vous avez envie de jouer… entre adultes ? Vous vous êtes déjà fait prendre ?

 

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Un trio MecBeau pour apporter ?

Mon Dieu, faites que je me trouve un amoureux ! Je vous jure de ne pas le dévorer tout cru (quoique, j'ai l'impression qu'il ne s'en plaindrait pas, dépendamment de la manière de s'y prendre!)

Comme je ne suis pas femme à baisser les bras devant l’adversité, je décide d’agir. Je cherche un angle d’attaque… Hum… Voyons voir.

–  Qu’est-ce que tu manges pour être beau de même ?

–  Irais-tu me chercher un café avec de la crème fouettée ? On pourrait s’amuser un peu…

–  Quelle heure est-il ? 12h25 ! C’est justement l’heure de ma séance de drague. Ça te dit de participer ?

Seigneur! J’ai beau chercher, rien de bon ne me vient. J’suis définitivement mure pour un cours d’initiation au flirt. Évidemment, je pourrais me contenter d’un « Bonjour! », mais il me semble que ça manque un peu d’originalité. Je me creuse les méninges, puis l’occasion d’aborder Beau-Mec m’est servie sur un plateau de plastique (parce qu’au McDo, les plateaux d’argent, on oublie ça!).

–  Maman, il y a un petit garçon qui n’arrête pas de m’agacer. Il n’arrête de vouloir lever ma jupe !

–  C’est qui, ce garçon ? (Je prie intérieurement pour que ce soit le fils de Mec-Beau… )

–  Celui qui est habillé en jeans avec un chandail gris. 

Mes prières ont été exaucées : c’est le fils de mon futur chum (ben quoi, je prône toujours la visualisation)… Hum… Je me demande bien si c’est tel père tel fils. Ça ferait potentiellement mon affaire, héhé… (Je suis en manque, est-ce que ça paraît?).

Mec-Beau se lève et m’interpelle.

–  C’est mon fils, je vais aller l’avertir, ne vous inquiétez pas madame (Ce qui m’inquiète, mon homme, c’est de te laisser filer sans obtenir tes coordonnées!)  

Ah, j’aime ça, un mec qui prend des initiatives sans qu’on ne lui dise (je pensais que c’était une espèce en voie de disparition). Le gentil Papa va réprimander son fils et j’incite Sabrina à retourner jouer. L’homme revient dans la salle…

–  Bon, il devrait se tenir tranquille, maintenant.

Je ne peux pas résister, c’est plus fort que moi, je lui demande : « Est-ce qu’il tient ça de son père ? ». Mon superbe interlocuteur se met à rire,  dévoilant sa parfaite dentition Colgate :

–  Et si je vous disais que oui ?

–  Bah, tant qu’il ne court qu’un jupon à la fois, c’est correct ! (et tant que toi, tu cours le mien, on est en business, mon beau!)

–  Vous demeurez dans le coin ?

–  Oui, assez près. On arrive de la bibliothèque…

–  J’y vais souvent moi aussi, j’adore lire ! (Wow, un intello! Ne me demandez pas pourquoi, mais j’ai un faible pour les intellos… tant qu’ils ont une allure sportive).

–  Et vous lisez quoi ?, que je lui demande toute excitée par cet homme qui lit (je sais, j’suis bizarre!)

–  Le Guide de l’auto, la revue Chasse et pêche, la section des sports du journal… (POW!!!! Ça, c’est ma balloune qui vient de péter… Pour l’intello, on repassera ! De toute manière, il n’avait même pas de lunettes. Enfin, reste qu’il est magnifiquement beau, alors je ne vais pas me décourager pour si peu.)

–  Intéressant. Vous êtes amateur de plein air ?

–  Oui, j’aime être dehors, profiter du soleil.

–  Justement, mes filles et moi allons au parc juste à côté, ça vous dit de nous accompagner avec votre fils ? (Ouf! Quelle audace, je n’en reviens pas moi-même! C’est fou, l’effet du gras (et du gars) sur le système!)

–  Je pourrais y être dans une quinzaine de minutes. Je dois passer chez ma mère rapidement auparavant.

–  Parfait, pas de problème.

Si simple. Si efficace. Sur le fait, le fils de Beau-Mec entre dans la salle.

–  Nous allons aller vite vite chez grand-maman, puis on va aller au parc.

–  On va aller rechercher notre lavage, Papa ? Parce que j’ai hâte de remettre mon pyjama de Spider-Man… Penses-tu que grand-maman va nous avoir préparé de la lasagne puis du pâté chinois ? J’suis tanné de manger des grilled-cheese.

Merde. Subitement, mon instinct me crie de changer mes plans… Je fais comme si de rien n’était, mais je viens de prendre une décision : il n’est pas question que j’aille plus loin avec un homme qui n’est pas foutu de faire son lavage et de cuisiner. J’ai assez de trois enfants, je ne vais pas en ajouter un à ma charge, aussi beau soit-il ! Bon, il semblerait que je vais devoir continuer mes démarches… Mais je vais y arriver, je vous le dis ! Je n’ai pas dit (ni écrit) mon dernier mot! 😉

Le trio Mec-Beau, chez McDo, c’est de trop ! Mec-Beau son fils, ça va… Mais je digère mal la potentielle belle-maman qui vient avec…

Crédit photo : © Kollege

 

Rencontre savoureuse pour consommation immédiate…

L'homme de mes rêves ? Il est souriant, sociable... et fait potentiellement du vélo ! Le match parfait, quoi !

Le mec pénètre dans la salle à manger réservée aux petites familles, ou du moins aux parents en solo avec progéniture affamée. J’essuie distraitement la goutte de salive qui mouille mes lèvres et je tente de fermer ma bouche qui demeure obstinément ouverte en constatant la beauté sublime de ce charmant papa (fiez-vous sur moi, mesdames… il est exquis).

Hum… Comme je les aime ! Grand (il doit faire 1 mètre 80 ou 6 pieds, peut-être plus!), élancé (je vous l’annonce, parce que je sens que je vais en parler souvent, mon principal critère physique est un gars « bedaine-free »… J’ai un faible pour les minces). Cheveux bruns courts, magnifiques yeux bleus. Ça y est, je craque… Il a un seul enfant : un petit garçon d’apparemment 4 ou 5 ans. Je prie intérieurement Saint-Antoine-de-Padou, le saint des causes perdues (j’ai perdu ma vie de couple et je cherche désespérément à la retrouver), pour que mes filles et le fils du papa à faire baver (un peu plus puis je me prends une bavette de plastique pour les besoins de la cause) avalent leurs croquettes et aillent digérer leur excès de gras dans les jeux au plus vite.

Pendant que nous finissons notre repas, j’en profite pour lancer quelques regards pas trop subtils (ben quoi, les gars, ça ne décodent pas facilement!) au papa en question, assis à la table juste en face de moi.

J’y vais pour quelques stratégies simples, mais qui ont fait leurs preuves.

1)  Le sourire.  Le premier test.  Ça fonctionne toujours (sauf si vous avez des dents manquantes, évidemment). Le mec me répond par un sourire lui aussi. Voilà qui augure bien.

2)  L’amabilité (faut que je passe pour une mère compétente et aimable). Même si ma plus vieille me demande encore une fois comment il se fait que je ne veux jamais leur acheter de trio pour enfants (j’achète plutôt un trio de 10 croquettes que je fais « grossir » et je divise le tout en 3. Économique et pas de gaspillage de nourriture!), je lui réponds CALMEMENT (pour la énième fois, parce que c’est la même rengaine à chaque visite dans le paradis du fast-food) qu’elles n’ont pas besoin d’autres jouets et je me retiens SOLIDE de lui faire ma critique de la société de consommation dans laquelle nous vivons… Résultat souhaité : le père constate que je suis une belle-mère potentiellement équilibrée pour son petit trésor…

3)   L’attrait physique. Même si on dit qu’en avril, il ne faut pas se découvrir d’un fil, moi je n’attends jamais le mois de mai pour faire ce qu’il me plaît… Ainsi, je suis vêtue de mes « jeans de drague » (le genre qui fait des fesses à la Jennifer Lopez) et d’une jolie camisole juste ce qu’il faut de moulant et de révélateur considérant le peu de poitrine que j’ai à mettre en valeur (mais de nos jours, un bon « push-up » et c’est réglé!). J’en profite pour me lever afin d’aider ma plus jeune, laissant le mec reluquer mes courbes à sa guise… Je vais ensuite porter un petit quelque chose à la poubelle, en sortant ma démarche « je suis sexy et je l’assume » et je reviens en lui souriant.

Ma proie est sur le point de craquer. J’en suis sûre. Comble du bonheur, nos enfants ont terminé leur dégustation de cholestérol frais et s’en vont dans la salle de jeux. Nous sommes seuls. Assis face à face. Je n’ose pas sortir le livre que j’ai amené pour passer le temps : « Le prince charmant des paresseuses ». Il pourrait penser que je n’ai pas envie de mettre de l’énergie à trouver l’homme de mes rêves. Dommage, j’ai laissé « Le Kama-Sutra des paresseuses » à la maison. Ça aurait pu lui donner des idées (quoique j’avoue avoir été un peu déçue par ce livre, que j’ai lu en diagonale, et là, je ne parle pas de la position de mon corps souple pendant la lecture).

Les secondes s’écoulent… J’ose, je n’ose pas ? Merde! Il semblerait qu’il est vrai que les Québécois ne draguent plus. Le mec me sourit à quelques reprises, mais il n’entame pas la conversation. Bon, est-ce que je passe en seconde vitesse ou je me contente de savourer mon MacPoulet en solo ?

La suite bientôt!

Crédit photo : © le niners

 
 

Comment faire de savoureuses rencontres…

Ouf, celui-là, même s'il a des lunettes, je n'ai vraiment pas envie de le savourer... 😉

Hum… C’était bon, c’était chaud. Je ne m’étais pas octroyé un tel plaisir depuis au moins 2 mois. J’étais plus que due. Je me sentais gourmande de m’y laisser aller, mais l’envie était apparue cette semaine plus forte que jamais, car l’invitation que j’avais reçue ne pouvait être refusée. L’argument, l’incitatif étaient trop forts. Ce mec roux à l’humour débordant savait comment me prendre… Il avait même le tour avec mes enfants, qui l’adorait…

Alors, je m’étais laissée aller. Encore une fois, j’avais succombé. Et là, je jouissais littéralement.

Ravie de ce moment de pur plaisir des sens, je pensais, en m’essuyant la bouche :

« My God, il n’y a vraiment rien de mieux qu’un MacPoulet extra mayonnaise pour égayer un samedi midi avec les filles au royaume de Ronald McDonald ! J’aime tellement ça, la période des coupons-rabais! C’est plus fort que moi, il faut que je vienne au McDo! Manger du fast-food en surveillant la ligne de mon portefeuille, c’est divin ! »

Bien oui, je suis cheap, économe. J’adore particulièrement le McDonald’s lorsqu’il y a des coupons. Alors, récemment, j’ai été servie (et trois fois plutôt qu’une!  Hum… Ça me rappelle certaines soirées que je ne raconterai pas maintenant, héhé). Mais j’ai été plus que servie, parce que savez-vous ce que l’on trouve chez McDonald le samedi midi dans la section de tables qui bordent les jeux pour enfants ?

Du bruit et des pleurs ? Des enfants qui jouent ? Des mères de famille qui se sentent obligées de manger les croquettes et les frites de leur marmaille pour ne pas gaspiller de nourriture et parce que ça leur fait une excellente raison d’ingurgiter encore plus de fast-food (bon, j’avoue, je parle pour moi ici!) ?

Oui, il y a un peu de tout cela, mais surtout il y a … des papas monoparentaux qui n’ont pas envie de cuisiner (ou qui ne le savent pas, ça dépend ça fait combien de temps qu’ils sont séparés)… Alors, si vous avez un peu de courage, si vous n’avez pas peur du ridicule (ni de faire du tort à votre culotte de cheval), si vous êtes un brin chanceuse, vous risquez fort bien de rencontrer, par un magnifique samedi midi, le mec de vos rêves…

Et, je suis gâtée ce midi, parce que devant moi se pointe devant moi un bel homme apparemment monoparental. En tout cas, il n’a pas de bague et aucune femme ne l’accompagne… Une occasion à ne pas manquer ? Si certaines draguent dans l’allée des biscuits, alors moi, c’est décidé, je vais cruiser au McDo…

C’est à suivre !

Crédit photo :  © Jimme, Jackie, Tom and Asha

 

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Les lubies d’une mère monoparentale en quête de sensations fortes

Moi, avant mon épilation au laser... 😉

Dernièrement, j’ai eu une révélation. Eh oui, grâce au recul occasionné par ma vie de mère monoparentale, j’ai ENFIN compris à quoi servait le couple… En fait, c’est simplement un concept qui a été créé pour que les femmes puissent s’occuper l’esprit à essayer d’améliorer quelque chose… (ce qui passe souvent par la stratégie suivante : tenter de changer son homme non pas pour un autre, mais pour une version améliorée de lui-même, même si l’homme en question vit généralement très bien avec ses charmants défauts et n’éprouve pas plus le besoin de changer de personnalité que de modifier la couleur des murs de votre chambre ou de perfectionner sa technique infaillible pour vous faire savoir que ce soir, il a envie… 😉

Le fait est que la nature féminine vient avec ce besoin irrépressible d’amélioration constante, le tout couplé avec une nette propension à la discussion :

« Viens chéri, on va jaser de notre relation. On va voir ce que l’on pourrait faire pour mettre du piquant dans notre vie à deux… »

Mettre du piquant… Voilà un super objectif ! Mais quand t’es célibataire depuis un moment, que ton seul partenaire sexuel est un vibrateur que tu nourris avec des piles qui viennent en emballage Club du Costco et que tu appelles affectueusement « Mon grand ami » (j’aurais pu le prénommer Roger ou Georges, mais j’avais peur que ça soit le nom d’un éventuel Sugar Daddy, alors je me suis abstenue), bien tu cherches d’autres moyens de jazzer ton quotidien et d’assouvir ton besoin d’amélioration constante…

Et qui écope ? Tes enfants… Tes pauvres enfants… Tes pauvres martyrs d’enfants ! (dans les épisodes hors-série)

Et c’est pire encore… Parce qu’une semaine sur deux, comme tu as la garde partagée, bien tu es toute seule.  Ça veut dire que tu disposes de 7 X 24 heures pour trouver l’homme de tes rêves, certes, mais aussi échafauder les plans les plus machiavéliques pour rencontrer l’ÉLU!

Alors, dans les faits, qu’est-ce qui arrive quand une mère monoparentale décide que son célibat a assez duré ? Vous le saurez en lisant les aventures romancées et inspirées de mon vécu, mais où fiction, fantaisies et réalité ne sont jamais clairement délimitées, de cette mère en quête de sensations fortes…  qui souhaite mettre à profit toutes sortes d’idées loufoques et sortir de sa zone de confort.pour vivre une vie palpitante à deux !

Au plaisir,

Anik

Crédit photo : © Saltwell

 

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